Glossaire

Il s’agit du taux de fuite d’air, défini comme le nombre de changements d’air à l’heure qui se produisent dans un bâtiment. Cela est déterminé à l’aide d’une infiltrométrie avec une différence de pression de 50 Pa entre l’intérieur et l’extérieur d’un bâtiment, puis extrapolé pour tenir compte les pressions naturelles du bâtiment qui se produisent chaque année.

Comme son nom l’indique, un pare-air est une barrière physique qui empêche physiquement le mouvement de l’air et qui ne comporte ni trous, ni fissures, ni espaces de pénétration de quelque nature que ce soit, etc.

En deux mots : l’isolation a pour but de prévenir ce phénomène. Plus en détail : l’infiltration d’air désigne le processus par lequel de l’air non conditionné pénètre dans un espace conditionné (comme l’air extérieur pénétrant dans un bâtiment) ou l’air conditionné migrant vers un espace non conditionné (comme l’air chauffé s’échappant vers un grenier ou vers l’extérieur). Les déplacements d’air changent avec les saisons et sont influencés par des facteurs comme la pression de l’air et le vent. Toutefois, en règle générale, l’air se déplace du côté chaud vers le côté froid. Cela signifie que l’air est plus susceptible de se déplacer de l’intérieur vers l’extérieur à l’hiver et de suivre le chemin inverse à l’été. L’infiltration d’air est le résultat direct de plusieurs facteurs : ouvertures non scellées (joints, fissures et trous), matériaux isolants d’une densité insuffisante pour empêcher l’infiltration, mauvaise installation, manque d’étanchéité à l’air, etc. L’infiltration d’air est l’une des quatre façons dont la chaleur se déplace dans une structure.

En deux mots : Il faut colmater les fuites avant d’isoler un bâtiment. Plus en détail : Processus par lequel de minuscules trous, fissures, joints ou espaces de pénétration de toute autre nature qui pourraient permettre le passage de l’air de l’intérieur à l’extérieur, ou vice versa, ou entre des zones d’un bâtiment (comme un espace habitable et un espace inoccupé) sont scellés ou fermés, au moyen d’un calfeutrage, de mousse en aérosol, etc. Une bonne étanchéité à l’air doit précéder tout travail d’isolation.

Sel inorganique souvent utilisé pour réduire la quantité de borate nécessaire pour que l’isolant de cellulose soit classé A pour ses qualités de résistance au feu. Le sulfate d’ammonium peut, en présence d’une humidité suffisante, produire des odeurs d’ammoniac et entraîner la corrosion des tuyaux métalliques, des attaches, etc. Greenfiber fabrique plusieurs produits, dont le Cel-Pak, qui sont des formules de borate sans sulfate d’ammonium.

En deux mots : Endroits où installer l’isolant. Plus en détail : En ce qui concerne les structures et l’isolation, il faut entendre ici tout espace clos pouvant accueillir de l’isolant. Dans un mur, par exemple, des espaces sont délimités par des traverses en haut et en bas, des montants à gauche et à droite, un revêtement extérieur et un panneau mural à l’intérieur pour former un assemblage. Il en va de même pour la travée de chevrons d’un plafond cathédrale. Dans les deux cas, on parle d’« assemblages ».

En deux mots : Endroits où installer l’isolant. Plus en détail : En ce qui concerne les structures et l’isolation, il faut entendre ici tout espace clos pouvant accueillir de l’isolant. Dans un mur, par exemple, des espaces sont délimités par des traverses en haut et en bas, des montants à gauche et à droite, un revêtement extérieur et un panneau mural à l’intérieur pour former un assemblage. Il en va de même pour la travée de chevrons d’un plafond cathédrale. Dans les deux cas, on parle d’« assemblages ».

Méthode d’essai utilisant la propagation de la flamme et la densité de fumée, conçue pour mesurer la propension d’un matériau à la combustion. Les matériaux générant le moins de flammes et le moins de fumée sont considérés comme étant plus « sûrs » puisqu’ils donneraient aux occupants de meilleures chances d’échapper à un incendie.

En deux mots : La lumière du soleil est atténuée par des verres fumés, les rayons X le sont par le plomb et le son l’est par un isolant de cellulose compacté. En langage technique : Perte graduelle de l’intensité de tout type de flux, ou de débit, dans un milieu.


L’infiltromètre est un outil utilisé par un contrôleur de la gestion de l’énergie qui abaisse la pression de l’air à l’intérieur d’un bâtiment pour que l’air extérieur puisse pénétrer par toutes les fissures et ouvertures non scellées. 

L’infiltromètre se compose d’un cadre et d’un panneau flexible qui s’insère dans une porte extérieure, d’un ventilateur à vitesse variable, d’un manomètre pour mesurer les différences de pression à l’intérieur et à l’extérieur de la maison, et d’une variété d’instruments de mesure du débit d’air. 

Les infiltromètres sont soit calibrés, soit non calibrés. Ces derniers peuvent seulement localiser les voies de fuite dans une maison; ils sont incapables de mesurer l’étanchéité globale du bâtiment, qui s’exprime en nombre d’échanges d’air par heure. Il est préférable d’utiliser un infiltromètre calibré, qui fournira des données quantitatives sur la quantité de fuites d’air et l’efficacité de l’étanchéité à l’air.


Un assemblage sans remplissage. (Voir Assemblage). Peut également faire référence à un assemblage non rempli avant l’application de panneaux muraux intérieurs, de lambris, etc.

En ce qui concerne l’isolant de cellulose, le terme « couverture » fait référence a) à la superficie en pieds carrés d’une zone ouverte, telle qu’un plancher de grenier, qui peut être couverte jusqu’à une profondeur spécifiée par un seul sac de matériau, ou b) au volume en pieds cubes d’une cavité ou d’un assemblage que peut occuper le contenu compacté d’un seul sac de matériau, à raison généralement de 3,5 lb/pi3.

Essai de résistance au feu ASTM E-84 utilisé pour déterminer la résistance au feu dans les murs et dans les toitures et plafonds. Les classes A ou 1 se rapportent aux produits dont l’indice de propagation des flammes est de 25 ou moins et l’indice de développement de fumée de 450 ou moins. En cas d’incendie, un produit de classe A ou 1 est considéré comme étant le plus sûr. Ces indices de résistance au feu influencent également les prescriptions des codes du bâtiment au sujet des matériaux qui peuvent être laissés exposés sans avoir besoin d’une barrière thermique de 15 minutes, comme les cloisons sèches.

L’unité de mesure standard des fuites d’air dans les bâtiments équipés d’une infiltrométrie. Ces valeurs sont exprimées en pieds cubes d’air par minute à une différence de pression de 50 Pa, habituellement entre l’intérieur du bâtiment et l’extérieur.

La conduction (ou conduction thermique) est le transfert d’énergie thermique entre les molécules voisines d’une substance en raison d’une différence de température. Elle se déroule toujours d’une région de température plus élevée à une région de température plus basse, et agit pour égaliser les différences de température. La conduction est l’une des quatre façons dont la chaleur se déplace dans une structure.

Désigne la chaleur aérienne transportée dans une structure ou un ensemble de bâtiments, l’une des quatre façons dont la chaleur circule dans une structure.

Commission de sécurité des produits de consommation

La cellulose pulvérisée humide désigne l’isolant en cellulose auquel on ajoute une petite quantité d’humidité pendant l’application. Elle est le plus souvent appliquée dans les nouvelles constructions où les cavités sont ouvertes, juste avant l’application des revêtements intérieurs comme les panneaux muraux, les cloisons sèches ou les lambris. L’humidité sert à activer l’amidon de la cellulose, lui permettant d’adhérer tant à elle-même qu’aux surfaces de la cavité.

Le terme 'compactage' fait référence à un isolant de cellulose installé dans une cavité ou un assemblage, soufflé à sec ou pulvérisé à l’humidité, d’une densité de 3,2 à 3,5 lb/pi3 d’espace, soit environ le double de la densité du matériau. Le processus par lequel un espace est emballé de manière dense est appelé "compactage".

L’énergie intrinsèque est une mesure de l’énergie nécessaire à la fabrication d’un produit, mais aussi de l’empreinte écologique de ce dernier. En termes simples, s’il faut moins d’énergie pour fabriquer un produit A qu’il en faut pour un produit B, ça signifie que l’empreinte écologique du produit A est plus légère – et parfois de beaucoup – que celle du produit B, ce qui est bon pour tous. De ce point de vue, l’isolant Greenfiber réussit particulièrement bien par rapport aux solutions de rechange. Par rapport à la fabrication de l’isolant de cellulose, celle des isolants de fibre de verre et de mousse est beaucoup plus énergivore.

Une approche plus complète de l’énergie intrinsèque consiste à examiner les mesures du potentiel de réchauffement planétaire et de l’analyse du cycle de vie par rapport à la consommation d’énergie. Selon une étude de l’Université du Minnesota intitulée « Minnesota Sustainable Housing Initiative » qui a comparé le cycle de vie des panneaux en fibre de verre à celui de l’isolant de cellulose, ces mesures indiquent clairement tous les désavantages de la fibre de verre:


  • une consommation d’énergie supérieure de 683 %
  • un potentiel de réchauffement planétaire (en livres de CO2) 728 % plus élevé
  • un indice de pollution de l’air 1 850 % plus élevé


C’est mauvais. Des mousses en aérosol? La production de ces isolants nécessite beaucoup plus d’énergie que celle des isolants de fibre de verre; leur empreinte écologique est donc bien plus profonde.

Le choix le plus économique et le plus écoénergétique, c’est incontestablement l’isolant de cellulose Greenfiber! Isoler sa maison ou les bureaux de son entreprise avec nos produits d’isolation en cellulose est une occasion de bien faire (économiser de l’argent) en faisant le bien (alléger son empreinte écologique).

Un audit énergétique est une évaluation complète d’une structure pour déterminer son efficacité relative, l’efficacité de ses systèmes et la présence d’ouvertures à sceller. Il est généralement effectué par un professionnel qualifié qui prépare une liste de recommandations ou d’améliorations à considérer pour réduire l’utilisation totale d’énergie d’une structure.

En ce qui concerne l’isolation de cellulose, les termes 'fibré' ou 'entièrement fibré' font référence à la réduction de la matière première papier à l’état original de longues fibres de cellulose, sans aucune ressemblance avec le matériau d’origine. Une fibérisation adéquate et complète est essentielle pour que l’isolant de cellulose isole et résiste au feu (après l’ajout de borate minéral) au maximum de ses capacités.

Le pare-feu désigne à la fois le composant et le processus d’installation d’une barrière physique, appelée « pare-feu », qui est habituellement faite de bois, dans une cavité, dont le but est de ralentir la progression du feu et/ou de la flamme au cas où une cavité serait compromise pendant un incendie. Le pare-feu peut être éliminé ou grandement réduit par l’utilisation d’isolant en cellulose en raison de la capacité inhérente de ce dernier à prévenir la propagation des flammes.

En construction, un pare-feu est un ensemble mural doté d’une résistance au feu conforme au code du bâtiment et visant à ralentir la propagation du feu d’un côté à l’autre.

L’écoblanchiment est un terme négatif qui a un sens semblable à celui du blanchiment. Il est le plus souvent utilisé pour décrire les efforts déployés par les entreprises pour se présenter ou présenter leurs produits comme plus respectueux de l’environnement ou plus responsables qu’ils ne le sont en réalité. D’un point de vue marketing, on considère qu’il s’agit d’une exagération des avantages écologiques jumelée à un silence sur les inconvénients pour l’environnement.

Désigne le processus de fabrication du papier dans lequel 10 % ou plus de la pâte de bois est produite par des moyens mécaniques tels que des broyeurs.

Le transfert d’énergie thermique par conduction, convection et radiation à partir de zones d’intensité énergétique plus élevée, ou zones plus chaudes, vers des zones d’intensité énergétique plus faible, ou zones plus froides.

Résistant à l’eau, non absorbant. Les isolants en fibre de verre et en mousse pulvérisée sont généralement hydrophobes, c’est-à-dire qu’ils absorbent et conservent très peu d’humidité, mais fournissent plutôt des surfaces de condensation possibles.

Bien absorber ou conserver l’humidité. Lorsqu’on se réfère à l’isolation à la cellulose, on entend que les propriétés hygroscopiques de la cellulose lui permettent de gérer les poussées d’humidité naturelles qui se produisent dans toutes les structures, ce qui donne aux assemblages la possibilité de transmettre progressivement l’humidité en suspension dans l’air.

Code international du bâtiment

La classe d’insonorisation fait référence à la façon dont les bruits d’impact sont transmis à travers les planchers. Contrairement à la transmission du son aérien, le bruit d’impact est principalement transmis par les solives de plancher et demande des contrôles différents. Plus la valeur est élevée, plus le plancher est insonorisant.

Ce sont les espaces ouverts ou les voies qui s’interconnectent dans les bâtiments entre les murs et les plafonds. Ils permettent au feu, à la chaleur, aux odeurs, aux insectes et à la vermine de circuler sans déranger les occupants du bâtiment.

International Residential Code

Terme utilisé pour décrire une installation dans un espace ou une cavité, comme dans un grenier, où la cellulose serait soufflée librement sur le plancher.

National Fire Protection Association

Libération lente, sur une période donnée, d’un gaz ou d’un produit chimique auparavant contenu ou piégé dans un matériau, soit par conception, soit par utilisation dans le processus de fabrication. S’emploie en particulier lorsqu’il s’agit de la qualité de l’air intérieur,

Le papier journal excédentaire ou en surplus désigne les journaux qui sont imprimés mais non achetés par les consommateurs. Par exemple, un quotidien peut imprimer et distribuer 1 000 000 d’exemplaires un jour donné et en récupérer 250 000 qui n’ont pas été achetés. Greenfiber achète ces surplus en vrac pour les recycler en isolant de cellulose.

Une mesure utilisée pour déterminer la vitesse à laquelle la vapeur d’eau est capable de se déplacer à travers les pores d’un matériau. Un matériau dont l’indice de perméabilité est inférieur à un (1), tel que défini par la norme ASTM E-96, est communément appelé pare-vapeur.

Le rayonnement thermique est l’un des quatre moyens par lesquels la chaleur se déplace dans une structure. Le rayonnement thermique est un rayonnement électromagnétique émis par la surface d’un objet, en raison de la température de l’objet. Le rayonnement infrarouge d’un radiateur domestique ou d’un appareil de chauffage électrique ou la lumière émise par une ampoule à incandescence typique sont des exemples courants de rayonnement thermique.

La valeur R est une mesure de la conduction thermique d’un matériau (voir conduction). Cette valeur R s’est malheureusement imposée dans l’esprit du consommateur comme une méthode universelle pour comparer les isolants – plus la valeur R est élevée, meilleure est l’isolation –, alors que ce n’est pas le cas. La valeur R mesure seulement la conduction thermique, qui est un facteur parmi plusieurs de rendement d’un produit isolant dans le monde réel.

Cette valeur est une mesure de la résistance au flux de chaleur à travers une épaisseur donnée de matériau. La comparaison entre les isolants que la valeur R autorise ne dit pas tout, tant s’en faut. L’isolation est d’abord et avant tout destinée à stopper la circulation de la chaleur. Le problème de l’utilisation de la valeur R comme seul critère d’efficacité d’un isolant, c’est que la chaleur se déplace hors d’un bâtiment de quatre façons : par conduction (que la valeur R mesure), mais aussi par convection, rayonnement et infiltration d’air (que la valeur R ne mesure pas).

La rénovation désigne le processus d’installation de l’isolant dans une structure finie, présumément plus vieille. Le processus consiste généralement à enlever une bande de revêtement extérieur à chaque étage, à percer des trous pour permettre l’accès aux montants, à installer un isolant de cellulose dense, à sceller les trous et à remplacer le revêtement.

La densité stabilisée est la densité finale d’un matériau après un certain temps, compte tenu du tassement naturel, des vibrations, des effets de la gravité, etc. Il s’agit de la densité d’un matériau à la fin de ces processus de tassement naturel. La densité de l’isolant de cellulose est d’environ 1,5 lb/pi3.

Cellules ouvertes/faible densité, cellules fermées/haute densité.

Isolant de cellulose qui contient des quantités supplémentaires d’amidon ou de liants qui, lorsqu’ils sont activés par l’humidité, permettent à la cellulose, en théorie, d’être appliquée en vrac dans un grenier et de ne pas subir de tassement.

L’isolant stabilisé se tasse moins, ce qui réduit la quantité de cellulose nécessaire. Cela peut s’avérer avantageux pour réduire le poids global sur les cloisons sèches du plafond et prévenir un éventuel affaissement.

L’effet de cheminée est le mouvement de l’air à l’intérieur et à l’extérieur des bâtiments, des cheminées, des cheminées de gaz de combustion ou d’autres conteneurs, entraîné par la flottabilité. La flottabilité est due à une différence de densité de l’air entre l’intérieur et l’extérieur en raison des variations de température et d’humidité. Il en résulte une force de flottabilité positive ou négative. Plus la différence thermique et la hauteur de la structure sont grandes, plus la force de poussée est importante, d’où l’effet de cheminée. Cet effet contribue à la ventilation naturelle et à l’infiltration.

L’indice de transmission du son (ITS) est une évaluation à un seul chiffre de la capacité d’un matériau à résister au transfert du son aérien aux fréquences de 125 à 4000 Hz. Plus l’ITS d’un matériau est élevé, plus ce matériau est efficace pour atténuer les bruits aériens. Les isolants en cellulose dense ont un ITS plus élevé que les isolants en fibre de verre ou en mousse pulvérisée.

Un agent qui réduit la tension de surface d’un liquide de sorte que ce dernier s’étale au lieu de s’accumuler en gouttelettes.

Un pont thermique est un composant ou un assemblage dans l’enveloppe d’un bâtiment à travers lequel la chaleur se transfère à un taux sensiblement plus élevé que la zone environnante. On peut aussi se représenter le pont thermique comme une chaîne de matériaux à faible valeur R qui fournit un accès direct de l’extérieur vers l’intérieur, sans interruption par un trou d’air ou un matériau isolant traditionnel.

Par exemple, l’assemblage composé de la cloison sèche intérieure, du montant avec lequel elle est en contact, du bordage qui est en contact avec le montant et du revêtement qui est en contact avec le bordage représente un « pont » thermique direct de l’extérieur vers l’intérieur d’une structure. Comme leurs matériaux ont des valeurs R (résistance à la conduction de la chaleur) nettement inférieures à celles de l’isolant de cellulose, ils représentent un chemin plus rapide ou plus direct pour que la chaleur sorte du bâtiment en hiver ou y entre en été.

L’enveloppe thermique d’une structure est constituée de ses fondations, ses murs, sa toiture, ses fenêtres et ses portes, considérés comme un système. Cette enveloppe thermique contrôle le flux d’énergie entre l’intérieur et l’extérieur de la structure.

Le rayonnement thermique est l’un des quatre moyens par lesquels la chaleur se déplace dans une structure. Le rayonnement thermique est un rayonnement électromagnétique émis par la surface d’un objet, en raison de la température de l’objet. Le rayonnement infrarouge d’un radiateur domestique ou d’un appareil de chauffage électrique ou la lumière émise par une ampoule à incandescence typique sont des exemples courants de rayonnement thermique. Le rayonnement thermique est l’un des quatre moyens par lesquels la chaleur se déplace dans une structure.

La thermographie, relative à l’évaluation de l’isolation et/ou des fuites d’air dans une structure, mesure les températures de surface grâce à l’utilisation d’un appareil photo infrarouge. Ces caméras voient la lumière dans le spectre thermique, ce qui est impossible à l’œil nu. Les images enregistrent les variations de température des surfaces du bâtiment, où le blanc indique des zones plus chaudes et le noir, des zones plus froides. Ces images sont utiles pour déterminer le besoin d’étanchéité à l’air et d’isolation, pour comparer les situations avant et après des correctifs, pour distinguer les fuites d’air des fuites d’humidité, etc.

Un assemblage de toiture non ventilé est un élément étanche d’un toit, tel qu’une travée de chevrons, qui n’a pas de moyens mécaniques de ventilation, tels que des évents de soffite ou de faîtage. On en voit souvent dans la construction de plafonds de style cathédrale.

Comme le recyclage, la revalorisation est la pratique consistant à prendre un objet jetable et à le transformer en quelque chose de plus utile et de plus précieux.

En termes d’isolation, tout matériau qui empêche la transmission de l’humidité d’un côté d’une cavité ou d’un assemblage à un autre. Un pare-vapeur est habituellement requis quand l’isolant installé gère mal l’infiltration d’air et/ou l’humidité de l’air, comme c’est le cas de la fibre de verre. Les pare-vapeur peuvent générer leurs propres problèmes dans une structure, en particulier dans les régions où la température et la circulation de la vapeur changent considérablement avec les saisons. Tout pare-vapeur se trouvera du « mauvais côté » de la cavité pendant une longue période de l’année.

Dans une installation typique, non seulement l’isolant de cellulose n’a pas besoin de s’accompagner d’un pare-vapeur, mais l’utilisation d’un pare-vapeur est même déconseillée dans la grande majorité des situations.

Le processus dans lequel l’eau se déplace à travers les pores des matériaux de construction, sous l’effet des changements de pression de vapeur résultant de la température ou de la concentration d’humidité.

La ventilation désigne l’introduction d’air frais dans une structure. Un bâtiment correctement isolé et étanche à l’air a généralement besoin d’une certaine forme de ventilation mécanique, conformément au code du bâtiment, afin d’assurer un apport d’air adéquat aux occupants et aux systèmes mécaniques, par exemple un poêle, un foyer, une sécheuse, les poêles, etc.